De la pénicilline des vaccins anti-polio au PEG de Pfizer

Historique du vaccin

La mise au point du vaccin contre la poliomyélite a été annoncée le 12 avril 1955. Cependant, des enfants vaccinés déclarent la maladie et la vaccination est stoppée. Après retrait des lots suspects, l’enquête montre que le virus n’avait pas été suffisamment inactivé.

La pénicilline dans les vaccins

On allait cependant découvrir une autre réaction secondaire à cause de la présence de pénicilline dans les vaccins. En effet, les médecins ont décrit des réactions allergiques anaphylactiques chez des vaccinés. Des traitements antérieurs avec l’antibiotique pénicilline étaient la cause d’un primo sensibilisation à cet haptène. On peut retrouver dans la littérature scientifique les premières alarmes.

https://www.bmj.com/content/2/5100/835.1

Le British Medical Journal

On peut ainsi lire plusieurs autres publications dans le British Medical Journal ainsi que d’autres revues médicales anglo-saxonnes. https://www.bmj.com/content/2/5100/835.1

Une autre source de sensibilisation

Les vétérinaires ont traité les vaches des années 50 avec de la pénicilline. Or, une source de contamination des patients allergiques se trouve dans le lait de vache. Ainsi, un allergique à la pénicilline des années cinquante va retrouver cet antibiotique dans plusieurs sources.

https://www.ouest-france.fr/sante/resistance-aux-antibiotiques-la-penicilline-pour-le-betail-en-cause-5417330

Les réactions secondaires avec le PEG

On peut ainsi faire la comparaison entre cette vaccination anti-poliomyélite des années cinquante et la thérapie génique expérimentale en phase III de Pfizer et Moderna.

En effet l’utilisation de polyétylenglycol (PEG) a montré rapidement une sensibilisation possible avec production d’anticorps IgE spécifiques anti-PEG.

Les premières alarmes ont été publiées dans le JAMA le 21 janvier 2021 !

https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2775646

Conclusion

On peut donc conclure qu’injecter précipitamment à toute une population saine une thérapie génique expérimentale n’est pas soutenable scientifiquement. Il ne suffit pas de commander des stocks d’adrénaline injectable.

Bernard SUDAN
Bernard SUDAN

Ex Chef de laboratoire en toxicologie et pharmacologie LabHead Ciba-Geigy, CIBA, Novartis, Bâle, 1975-2006 Research Nicotine as a hapten in seborrheic dermatitis, The Lancet, British Medical Journal, British Journal of Dermatology, Food and Chemical Toxicology, « Nicotine and Immunology » in Drugs of Abuse and Immune Function Ronald R. Watson ed.

https://www.researchgate.net/profile/Bernard-Sudan
https://www.dermiteseborrheique.net

https://www.bernardsudan.net/

https://www.youtube.com/channel/UCeQB3vdsKeZU-E0zORZr0vQ?view_as=subscriber

https://blogs.mediapart.fr/bernard-sudan/blog/110720/dermite-seborrheique-et-fiasco-de-la-recherche-en-dermatologie

https://blogs.mediapart.fr/bernard-sudan/blog/170818/de-1887-2020-l-effondrement-du-dogme-de-la-dermite-seborrheique

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