Faillite des biotechnologies et fin de l’industrie pharmaceutique !

En une semaine, deux informations concordent pour démontrer objectivement la fin d’une époque.

En effet, après l’échec du médicament Naproxcinod contre l’arthrose par l’avis négatif de la FDA et alors que ce médicament est le premier d’une nouvelle classe d’anti-inflammatoires dénommés CINODs (Inhibiteurs de Cyclooxygénase Donneurs d’Oxyde Nitrique), on pense immédiatement à une autre classe de médicaments anti-rhumatismaux (COXCIBs) qui ont tous été retirés du marché suite à des effets secondaires très importants (Vioxx de Merck, Prexige de Novartis, etc.).

Les tenants des biotechnologies ont voulu faire croire depuis des décennies à des effets miraculeux de médicaments issus de cette recherche mais nous avons encore un piteux exemple d’une recherche vouée à l’échec.

La biologie numérique de Jacques Benveniste est la seule voie actuelle de recherche avec un potentiel extraordinaire de résultats rapides pour solutionner les maladies à des coûts très faibles et c’est ce qui explique les grosses difficultés rencontrées par Jacques Benveniste pour faire passer sa recherche.

La société est donc face à une décision impérieuse de passer rapidement à la biologie numérique car ceux-là mêmes qui bloqueraient encore l’émergence de la biologie numérique seraient responsables devant la population qui n’accepte plus d’avaler n’importe quoi… et de se faire vacciner en catastrophe face à une pandémie inexistante…

La seconde preuve objective de la fin de l’industrie pharmaceutique est l’information de ce jour concernant la suppression de 6000 emplois par Pfizer ainsi que la fermeture de plusieurs sites dans le monde après le rachat de son concurrent Wyeth. Les fusions et acquisitions sont la traduction d’une ultime tentative pour retarder la chute finale comme bien d’autres entreprises pharmaceutiques l’ont fait dans les deux décennies passées (CIBA absorbé par Sandoz en 1996 pour former Novartis et en 2010 le nom CIBA n’existe plus…).

A SUIVRE !

Bernard SUDAN

Bernard SUDAN

Ex Chef de laboratoire en toxicologie et pharmacologie LabHead Ciba-Geigy, CIBA, Novartis, Bâle, 1975-2006 Research Nicotine as a hapten in seborrheic dermatitis, The Lancet, British Medical Journal, British Journal of Dermatology, Food and Chemical Toxicology, « Nicotine and Immunology » in Drugs of Abuse and Immune Function Ronald R. Watson ed.

https://www.researchgate.net/profile/Bernard-Sudan
https://www.dermiteseborrheique.net

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https://blogs.mediapart.fr/bernard-sudan/blog/110720/dermite-seborrheique-et-fiasco-de-la-recherche-en-dermatologie

https://blogs.mediapart.fr/bernard-sudan/blog/170818/de-1887-2020-l-effondrement-du-dogme-de-la-dermite-seborrheique

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