Rodolphe Lavinay et sa longueur d’onde biologique fondamentale correspondant à la fréquence OM de 136,1 Hz

par | 30 Déc 2022

Les travaux innovants et occultés de Rodolphe Lavinay

En lisant l’article d’un blog résumant les travaux de l’ingénieur Rodolphe Lavinay et après avoir lu son livre « Les ondes et la vie » publié en 1951, réédition en 2013 Editions Trajectoire, j’ai réussi à faire le lien entre sa longueur d’onde biologique fondamentale de 22 cm correspondante à 1,36 GHz et la fréquence du diapason OM 136,1 Hz correspondant à une longueur d’onde de 2200 km: http://dbloud.free.fr/lavinay.htm

Le circuit oscillant humain

On peut lire à la suite de son 1,36 GHz « tous ses harmoniques » et évidemment la fréquence OM de 136,1 Hz est une harmonique de la fréquence fondamentale de Rodolphe Lavinay. En page 61 de son livre, on peut voir sa comparaison entre le circuit oscillant humain et le circuit oscillant radio électrique ce qui traduit de sa part une approche d’une réalité impressionnante avec plus de 70 années de recul:

La fréquence OM de 136,1 Hz

On peut mieux comprendre que la fréquence OM de 136,1 Hz qui correspond à la fréquence de l’année terrestre soit la base de la méditation des anciens indiens qui s’ouvraient au cosmos : https://www.planetware.de/octave-cosmique/terre-an.html

Bernard SUDAN

Ex Chef de laboratoire en toxicologie et pharmacologie LabHead Ciba-Geigy, CIBA, Novartis, Bâle, 1975-2006 Research Nicotine as a hapten in seborrheic dermatitis, The Lancet, British Medical Journal, British Journal of Dermatology, Food and Chemical Toxicology, "Nicotine and Immunology" in Drugs of Abuse and Immune Function Ronald R. Watson ed.

https://www.researchgate.net/profile/Bernard-Sudan

https://www.dermiteseborrheique.net
https://www.bernardsudan.net/

https://www.youtube.com/channel/UCeQB3vdsKeZU-E0zORZr0vQ?view_as=subscriber

https://blogs.mediapart.fr/bernard-sudan/blog/110720/dermite-seborrheique-et-fiasco-de-la-recherche-en-dermatologie

https://blogs.mediapart.fr/bernard-sudan/blog/170818/de-1887-2020-l-effondrement-du-dogme-de-la-dermite-seborrheique