Les solutions salines, la véritable énigme résolue
Comme je l’explique dans ma récente vidéo sur YouTube, j’ai utilisé et publié en 1980 une crème de cromoglycate de sodium à 5% très efficace et sans effets secondaires mais impossible à développer et à mettre sur le marché face aux corticoïdes locaux. J’ai donc ensuite travaillé sur les effets de l’eau de mer en me fondant sur les travaux du biologiste René Quinton avec une efficacité marquée alors que le lithioderm, un sel de lithium à 8% arrivait sur le marché pharmaceutique. Ma recherche m’a permis d’arriver aux sels de la Mer Morte en 2010 avec le pain dermatologique Massada et la crème légère de la même marque:
https://www.youtube.com/watch?v=PzQFSLntsn0
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0151963807891897
La dogme de l’infection fongique s’effondre
Je voudrais aussi insister sur l’importance des travaux de Faergemann en 1986 qui démontrait que le Lithioderm, un sel de lithium n’avait aucune activité contre le champignon Pityrosporum négativant ainsi la publication de Grosshans en 1986 qui qualifiait la dermatite séborrhéique de « pityrosporose » mais me citait pour ma dermatite familiale par un allergène aéroporté !
Ex Chef de laboratoire en toxicologie et pharmacologie LabHead Ciba-Geigy, CIBA, Novartis, Bâle, 1975-2006 Research Nicotine as a hapten in seborrheic dermatitis, The Lancet, British Medical Journal, British Journal of Dermatology, Food and Chemical Toxicology, "Nicotine and Immunology" in Drugs of Abuse and Immune Function Ronald R. Watson ed.
https://www.researchgate.net/profile/Bernard-Sudan
https://www.dermiteseborrheique.net
https://www.bernardsudan.net/
https://www.youtube.com/channel/UCeQB3vdsKeZU-E0zORZr0vQ?view_as=subscriber