Retraits de médicaments

Après le Parfenac, maintenant l’Agence européenne du médicament demande le retrait de l’antidiabétique Avandia de GlaxoSmithKline en raison du risque accru d’accidents cardio-vasculaires.

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/monde/20100923.FAP8510/l-agence-europeenne-du-medicament-demande-le-retrait-de-l-antidiabetique-avandia.html

et

http://www.lesechos.fr/investisseurs/actualites-boursieres/020812228203-l-avandia-de-glaxo-interdit-en-europe-et-davantage-encadre-aux-etats-unis.htm

Déremboursements

Des centaines de médicaments ayant eu des AMM ont déjà été déremboursés pour le peu de service médical rendu.

Nous apprenons de nouveaux retraits de médicaments issus de la biologie moléculaire.

Cette recherche sans résultats notables avec des milliers de « chercheurs » tournant en rond ceux-là même qui attaquaient Jacques Benveniste.

Ce chercheur d’une autre envergure aux idées autrement plus logiques avait bien expliqué dans de nombreux articles cette impasse de la biologie moléculaire.

Recherche en biologie numérique

Le résultat est pitoyable et il faudra bien prochainement basculer vers la recherche en biologie numérique.

Jacques Benveniste a initié cette recherche, dont on peut lire les articles publiés voilà plus de dix ans dans le quotidien le Monde:

http://sansconcession.over-blog.com/article-5814355.html

Pour information, les dermatologues traitent depuis plus d’un siècle une dermite soi-disant séborrhéique « sans séborrhée » avec des anti-séborrhéiques et des anti-fongiques.

Les pauvres saprophytes de la peau n’ont rien à voir avec cette inflammation de la peau puisque les sels de lithium en solution à 8% n’ont aucune activité contre Pityrosporum.

L’affaire de l’amiante

Et l’on ose pas parler du scandale de l’amiante dont la toxicité était connue dès le début du vingtième siècle.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Amiante

avec ses effets ravageurs à long terme sans que les « chercheurs » de la biologie moléculaire n’interviennent entre-temps pour arrêter ce scandale.