L’histamine, médiateur de l’allergie à l’origine de la dermatite séborrhéique

Une étude d’un microbiologiste irakien vient de mesurer le taux d’histamine et son élévation chez 50 patients atteints de ce syndrome dermatologique: téléchargeable en format pdf

confirmant l’étiologie allergique de ma première publication en 1978 et surtout l’origine de cette histamine dans les basophiles sanguins et les mastocytes tissulaires présents à la base des glandes sébacées alors qu’en 1887 le dermatologue Unna s’était concentré sur le sébum…On retrouve ainsi l’histoire du doigt qui montre la lune alors que l’idiot regarde le doigt ! Dans mes récents papiers anglais/français, je signalais déjà la publication de Kerr et collègues de 2011 qui avaient déjà démontré la présence d’histamine chez des patients atteints de dermatite séborrhéiques: https://www.bernardsudan.net/les-sels-de-la-mer-morte-comme-nouvelle-approche-pour-le-traitement-de-la-dermatite-seborrheique/ et https://www.bernardsudan.net/dead-sea-salts-as-a-new-approach-for-the-treatment-of-seborrheic-dermatitis/

Le rôle secondaire des saprophytes de la peau

Je peux préciser aux auteurs que l’infection fongique avec des spores de Malassez est secondaire à la réaction allergique avec un facteur de l’environnement comme lors de ma dermatite familiale avec l’haptène nicotine de la fumée de tabac (1978) et qu’il faut chercher le ou les allergènes de l’environnement.